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3/10 Classification des stimulations

Les conséquences de la sur-stimulation sur le chien de compagnie

D'après les définitions précédentes nous pouvons dire que les stimuli activent des organes sensoriels. Ils sont à l'origine de sensations. Ceux-ci peuvent être de nature physique ou chimique (ac-versailles.fr).

Par exemple une interaction telle que des encouragements ou une provocation est un stimulus de nature physique (sonore, vibrations...).

A partir de là on peut classer l'origine (www.larousse.fr) des stimulations de différentes manières comme par exemple :

  • les stimulations externes (sensorielles (ac-versailles.fr ; www.psychologies.com) visuelle, auditive, olfactive, tactile, thermique, gustative, kinesthésique), de type :

- abiotique (Ellis 2009), du à l'environnement (climat, lieu de vie avec beaucoup de passage ou non, près d'une voie ferrée, à proximité d'un aéroport, d'une chocolaterie, d'un circuit automobile, ...) ;

- biotique, liées aux interactions (intra et inter spécifique) ;

  • les stimulations internes : les réponses aux besoins (pyramide de Maslow (voir cours de "Psychologie Humaine" Vox Animae)) : la faim, la soif, l'élimination, ...

Dans ce mémoire on s'intéressera aux stimulations externes induites plus particulièrement par la relation humain-chien comme hypothèse à la sur-stimulation du chien de compagnie.